


Jean-Claude a vieilli, et a passé la main à son fils Fabien.
Fabien, 35 ans, est un type formidable. Excellent cuisinier, il nous préparera tout au long du séjour, un florilège de spécialités du pays. Il s’occupa de nous malgré les élections municipales. Il faut dire qu’il était adjoint dans la précédente municipalité qui se représentait.
Lundi matin, après



De retour au gîte, Fabien nous apprit que la météo prévue pour les jours à venir, n’était pas folichonne.






Mercredi, Fabien nous avertit que le temps allait s’améliorer dans la journée malgré la neige qui tomba toute la nui









L’apéritif du soir fut émaillé par un incident imprévu. Paulo, parti en pantoufles pour fermer sa voiture, voulut éviter de marcher dans la neige qui s’était remise à tomber. Désirant passer sous l’abri d’une avancée du toit, il ne fit pas attention à l



« - Poussez-vous, s’écria Jacqueline, je suis infirmière ! » Je suis marié depuis dix ans avec elle, je l’ignorais. J’avais pensé jusqu’à ce jour (à tort certainement), qu’elle était secrétaire médicale. « - Infirmière, secrétaire, c’est pareil, lança t’elle, réglant le problème d’un revers de main. » Les talents médicaux de Jacqueline joints à la cicatrisation exceptionnelle de Paulo, firent merveille. L’incident fut vite réglé, et nous n’eûmes pas à appeler le SAMU.



Mercredi, ce jour était important. C’était mon anniversaire, vingt ans……..d’Amis de la Nature. Le temps s’était légèrement amélioré durant la nuit. Je décidai de faire ce jour une petite randonnée sans raquettes. L’itinéraire prévu était le lac de Barbeyroux et les Infournas, retour par le col de la Blache. Une importante partie de la balade devait s’effectuer en forêt. Nous y trouvâmes pas mal de neige, ce qui fit râler mes collègues qui auraient préféré disposer de raquettes. Nous y arrivâmes quand même avec l’aide du GPS.
Aux Infournas, une éleveuse de brebis nous invita à assister à la séance d’allaitement des agneaux au biberon, ce qui fut l’occasion pour



Jeudi, dernier jour pour Jacqueline et Robert qui devaient nous quitter prématurément pour cause de représentations théâtrales. Comme pour leur faire la nique, le temps était magnifique, plus un seul nuage dans le ciel. C’était la journée idéale pour nous enfoncer encore plus profondément dans la montagne champsaurienne. Après les sources d



En bout de vallée, comme au Gioberney, faire la trace dans la neige collante fut éreintant malgré le temps très clément. Vers midi, nous étions encore assez loin du refuge du Prés de la Chaumette, but de la journée. Devant la fatigue, je décidai d’abandonner près de la cascade de Chaumeille. Comme nous en avions pris l’habitude avec André, nous fabriquâmes une tranchée circulaire dans la neige, dont le centre nous servit de table pour notre pause repas.
Le retour fut sans histoire. Au gîte, Fabien pour le dernier soir des susnommés, avait préparé un gueuleton de spécialités. Tout y était, oreilles d’ânes, tourtons …. avec des cuisses de canards confites. Nous quittâmes la table plus que repus.



L’heure était au bilan. Malgré une météo très aléatoire, nous occupâmes activement notre temps, et surtout nous nous rappellerions l’accueil inoubliable au gîte de Pisançon.
Au moment de partir, je pris une option auprès de Fabien sur le seul week-end disponible, à mi-juin. Ce week-end figurera sur le prochain programme.