Pour démarrer la nouvelle saison et terminer l’été en beauté, notre président et ami Alain Biacabe avait organisé, avec l’aide du comité des fêtes, un week-end festif les Samedi 30 et Dimanche 31 Août, dans sa maison au Thoronet, sous le thème des « Musiques du soleil. » Malheureusement il y eu peu d’inscriptions du fait peut-être des vacances non encore terminées.
Nous nous retrouvâmes 18 personnes à peine ce samedi en fin d’après-midi. J’avoue que j’étais un peu déçu, et j’avais peur que l’ambiance de la soirée en pâtisse. Je me trompais…… !
Je m’aperçus bien vite que ce n’est pas le nombre qui fait la qualité. On peut n’être que 18 et mettre le b….l comme 50. Je dois effectivement reconnaître que j’ai rarement assisté à un tel délire.
Précisons que la soirée était costumée. A tout seigneur tout honneur, nous ne sommes pas prêts d’oublier Francis et son costume de Massaï.
S’il y avait eu un concours, il aurait sans doute gagné la palme. Vêtu d’une ample robe rouge, serrée à la taille par une cordelette, il arborait une longue lance ainsi qu’un casse-tête. Mais le pompon, c’était qu’il s’était confectionné des chaussures de geishas en bois pour se grandir. Avec sa perruque frisée et son visage teint en noir, personne ne le reconnaissait. Citons encore le retour des Bidochon, Raymonde et Robert en vacances. Le Maghreb était bien représenté avec entre autre le mollah Ali Ben Monthéard. Beaucoup de pays de l’hémisphère Sud étaient présents : L’Inde avec Domi, Tahiti avec Claude, les Antilles avec Jacqueline, Alain et moi, et un pays que je n’ai pas réussi à déterminer, mais au costume traditionnel curieux et cocasse en la personne de l’inénarrable Pascale. Je ne présente pas tout le monde, ils se reconnaîtront sur les photos.
Tout commença par l’apéro bien sûr. Nous avions décidé d’organiser un repas du type « auberge espagnole. » Il y eut largement assez à manger pour le lendemain. Comme j’étais en forme, je me mis très tôt à la sono, et l’ambiance fût immédiate. Elle ne baissa pas jusqu’à deux heures du matin, heure à laquelle je décidai d’arrêter tout avant intervention des forces de l’ordre. Cela n’empêcha pas les deux cinglés de Robert et Pierrot de nous faire un récital en duo de chansons légèrement « has been. » Ce ne fût que vers trois heures que nous allâmes nous coucher.
Le lendemain matin, Alain organisa la visite guidée de la chapelle sous la terre, au bord de l’Argens. A midi nous allumâmes le barbecue et la bonne ambiance continua autour de la table. La journée passa ainsi comme un courant d’air.
Ce fût un week-end mémorable. Je tiens à remercier Alain pour sa gentillesse. Il faut aussi tirer un coup de chapeau à notre copine Gege qui s’est chargée de la logistique.
Pour finir je remercie chaudement tous les participants qui, par leur bonne humeur et leur joyeuse énergie, ont permis que la soirée soit un succès complet. Je me rappellerai longtemps de la « salsa du démon. ». Les présents comprendront…
On recommencera, c’est sûr.
Je ne résiste pas à l’envie de vous citer les personnes présentes.
Pascale André, Marie-Pierre Auriol, Brigitte Auzende, Alain Biacabe, Sylvie Cabon, Philippe Canion, Dominique et Claude Housinet, Pierre et Jocelyne Kurtz, Aline Leclere, Jacqueline Lenoir, Geneviève Leroux, Robert Monthéard, Christine et Francis Reyes et enfin Jacqueline et Jean-Marie Sullice. Je crois n’avoir oublié personne.
Merci à toutes et à tous !
Nous nous retrouvâmes 18 personnes à peine ce samedi en fin d’après-midi. J’avoue que j’étais un peu déçu, et j’avais peur que l’ambiance de la soirée en pâtisse. Je me trompais…… !
Je m’aperçus bien vite que ce n’est pas le nombre qui fait la qualité. On peut n’être que 18 et mettre le b….l comme 50. Je dois effectivement reconnaître que j’ai rarement assisté à un tel délire.
Précisons que la soirée était costumée. A tout seigneur tout honneur, nous ne sommes pas prêts d’oublier Francis et son costume de Massaï.
S’il y avait eu un concours, il aurait sans doute gagné la palme. Vêtu d’une ample robe rouge, serrée à la taille par une cordelette, il arborait une longue lance ainsi qu’un casse-tête. Mais le pompon, c’était qu’il s’était confectionné des chaussures de geishas en bois pour se grandir. Avec sa perruque frisée et son visage teint en noir, personne ne le reconnaissait. Citons encore le retour des Bidochon, Raymonde et Robert en vacances. Le Maghreb était bien représenté avec entre autre le mollah Ali Ben Monthéard. Beaucoup de pays de l’hémisphère Sud étaient présents : L’Inde avec Domi, Tahiti avec Claude, les Antilles avec Jacqueline, Alain et moi, et un pays que je n’ai pas réussi à déterminer, mais au costume traditionnel curieux et cocasse en la personne de l’inénarrable Pascale. Je ne présente pas tout le monde, ils se reconnaîtront sur les photos.
Tout commença par l’apéro bien sûr. Nous avions décidé d’organiser un repas du type « auberge espagnole. » Il y eut largement assez à manger pour le lendemain. Comme j’étais en forme, je me mis très tôt à la sono, et l’ambiance fût immédiate. Elle ne baissa pas jusqu’à deux heures du matin, heure à laquelle je décidai d’arrêter tout avant intervention des forces de l’ordre. Cela n’empêcha pas les deux cinglés de Robert et Pierrot de nous faire un récital en duo de chansons légèrement « has been. » Ce ne fût que vers trois heures que nous allâmes nous coucher.
Le lendemain matin, Alain organisa la visite guidée de la chapelle sous la terre, au bord de l’Argens. A midi nous allumâmes le barbecue et la bonne ambiance continua autour de la table. La journée passa ainsi comme un courant d’air.
Ce fût un week-end mémorable. Je tiens à remercier Alain pour sa gentillesse. Il faut aussi tirer un coup de chapeau à notre copine Gege qui s’est chargée de la logistique.
Pour finir je remercie chaudement tous les participants qui, par leur bonne humeur et leur joyeuse énergie, ont permis que la soirée soit un succès complet. Je me rappellerai longtemps de la « salsa du démon. ». Les présents comprendront…
On recommencera, c’est sûr.
Je ne résiste pas à l’envie de vous citer les personnes présentes.
Pascale André, Marie-Pierre Auriol, Brigitte Auzende, Alain Biacabe, Sylvie Cabon, Philippe Canion, Dominique et Claude Housinet, Pierre et Jocelyne Kurtz, Aline Leclere, Jacqueline Lenoir, Geneviève Leroux, Robert Monthéard, Christine et Francis Reyes et enfin Jacqueline et Jean-Marie Sullice. Je crois n’avoir oublié personne.
Merci à toutes et à tous !
