En cette période où fleurissent les festivals en tous genres, nous aussi nous avons désormais le notre, je l'ai baptisé "LES
DÉGUISADES DU THORONET"
Cette année avait lieu notre cinquième édition qui se déroulait comme à chaque fois chez notre ami Alain Biacabe.
Comme tous les ans, les festivités dureraient du samedi soir au dimanche après-midi.
Le traditionnel bal costumé avait pour thème cette fois "Grandeur et Décadence de l'Empire Romain." Je dois avouer que je n'y ai guère vu de grandeur, par contre la décadence était bien présente.
J'étais sur place comme tous les ans dès le Samedi matin car je devais installer la sono. Le travail s'avéra des plus pénibles du fait de la chaleur torride qui régnait ce jour là. Heureusement de nombreux bains dans une piscine judicieusement placée là facilitèrent un peu ma tâche.
L'arrivée des convives s'échelonna tout au long de l'après-midi. Nous étions cette année 24 personnes à participer aux réjouissances, ce qui fut un record absolu.
Nous avions prévu pour le repas une auberge espagnole. Chacun amène quelque chose et tout est partagé. Il résulte de ce système que plus on est nombreux, plus il y a à manger. Comme nous étions je le rappelle 24, nous eûmes droit à une véritable orgie romaine (de bouffe, je précise pour les esprits mal placés.)
Puis commença le bal qui dura jusqu'à deux heures du matin. Nous aurions dansé encore plus longtemps, mais j'ai arrêté la musique par respect pour les voisins.
Un bain général improvisé ponctua la nuit. Je n'en ai malheureusement pas fait de photos car j'étais occupé derrière mes platines.
J'allais oublier le concours de Miss Cuisse 2012 animé par Pierre Kurtz qui était déguisé en gladiateur et s'était tout naturellement rebaptisé Spartakurtz. Ce fut Martine la grande gagnante.
Après une courte nuit guère réparatrice, je me forçai à me lever tôt pour démonter le matériel avant les fortes chaleurs.
Le programme du Dimanche matin fut pétanque pour les uns et balade sur les rives de l'Argens avec baignade dans la rivière pour les autres.
Vers treize heures, la chaleur étant de nouveau accablante, nous transportâmes les tables sous la pinède pour prendre notre dernier repas (la cène pour faire époque) avec notre hôte. Puis après une après-midi sieste et piscine chacun regagna ses pénates heureux d'avoir une fois de plus participé à cette fête pour le moins réussie.
Mille mercis à notre ami Alain qui cette année avait fait les frais de deux grandes tables avec quatre bancs afin que nous soyons plus à l'aise. Elle n'ont pas été de trop.
Je nous donne donc rendez-vous l'année prochaine pour la sixième édition des DÉGUISADES DU THORONET. Le thème en sera certainement : LES CLOCHARDS SE TAPENT LA CLOCHE. Mais cela reste à débattre.
J'ai créé ce blog pour parler des sujets qui m'interpellent et pour publier des photos des randonnées que je fais avec Les Amis de la Nature de la section "LA PLAINE DU COUDON"
21 août, 2012
28 mai, 2012
CHAUDE RANDONNÉE DANS LES MAURES
Le beau temps a été long à venir mais enfin il est là. Nous allons nous en rendre compte au cours de cette randonnée organisée par Claude.
Nous sommes une quinzaine à y participer. Le départ se fait quelque part entre Pierrefeu et Collobrières. Nous y sommes accueilli par un tumulte inhabituel, mélange de voix sorties de haut-parleurs tonitruants et de curieux bourdonnements de frelons furieux. Il s'agit en fait d'une compétition de voitures télécommandées. L’évènement génère un énorme boucan que nous allons entendre longtemps au cours de la montée en direction du sommet du Peirol. Il fait tout de suite chaud. Mais la randonnée n'est pas très longue, aussi nous pouvons prendre notre temps et de nombreux arrêts ponctuent notre progression.
Un peu après midi, nous avons atteint le point pratiquement le plus haut de la sortie, endroit choisi par Claude pour notre pause de midi.
Les vins d'orange apportés par Francis et Jeff sont les bienvenus.
Après le repas, Nous grimpons encore une montée digestive pour suivre un moment les crêtes avant de redescendre abruptement tout ce que nous avions monté dans la matinée.
Nous rentrons ensuite en longeant les vignes. Les vrombissements des voitures télécommandées et les cris des haut-parleurs sont toujours là pour assourdir notre arrivée au parking. Il sont accompagné en plus des détonations des armes d'un club de tir. Nous sommes contents de partir.
A Pierrefeu, nous nous arrêtons pour aller prendre notre traditionnel pot de fin de randonnée au bistrot.
A l'est, de sombres nuages s'accumulent. Un orage approche, il est temps de rentrer au bercail.
Nous sommes une quinzaine à y participer. Le départ se fait quelque part entre Pierrefeu et Collobrières. Nous y sommes accueilli par un tumulte inhabituel, mélange de voix sorties de haut-parleurs tonitruants et de curieux bourdonnements de frelons furieux. Il s'agit en fait d'une compétition de voitures télécommandées. L’évènement génère un énorme boucan que nous allons entendre longtemps au cours de la montée en direction du sommet du Peirol. Il fait tout de suite chaud. Mais la randonnée n'est pas très longue, aussi nous pouvons prendre notre temps et de nombreux arrêts ponctuent notre progression.
Un peu après midi, nous avons atteint le point pratiquement le plus haut de la sortie, endroit choisi par Claude pour notre pause de midi.
Les vins d'orange apportés par Francis et Jeff sont les bienvenus.
Après le repas, Nous grimpons encore une montée digestive pour suivre un moment les crêtes avant de redescendre abruptement tout ce que nous avions monté dans la matinée.
Nous rentrons ensuite en longeant les vignes. Les vrombissements des voitures télécommandées et les cris des haut-parleurs sont toujours là pour assourdir notre arrivée au parking. Il sont accompagné en plus des détonations des armes d'un club de tir. Nous sommes contents de partir.
A Pierrefeu, nous nous arrêtons pour aller prendre notre traditionnel pot de fin de randonnée au bistrot.
A l'est, de sombres nuages s'accumulent. Un orage approche, il est temps de rentrer au bercail.
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