



Comme disait la comédienne Marie-Pierre Casey dans une ancienne pub de marque de dépoussiérant, « C’EST HEUREUX, MAIS JE FERAIS PAS CA TOUS LES JOURS »




Le résultat, il faut le dire sans fausse modestie, fut un succès total et mémorable, peut-être la meilleure ma





Pour commencer, nous avions prévu 70 convives maximum, compte tenu de la superficie de la salle. Il y en eut 81.
Vendredi commença l’organisation de la salle ainsi que la décoration. Puis vinrent les premières répétitions s





Vers 10h00 arriva Pierre Leoni. Il allait être le pilier de la soirée. C’est un Pianiste, et je mets un grand P. J’en profite pour faire un aparté en remerciant Pierre pour sa gentillesse et son dé





Pour résumer, il anima l’apéritif piano-bar, ainsi que le repas, il accompagna les chanteurs et il improvisa sur les diverses attractions. Pierre, chapeau bas !
Je peux vo





Aussi, il fallait mettre le paquet, et on le mit. D’abord, tout commença par un incident qui faillit être catastrophique. Bernard notre mettre queux et son épouse Joëlle se décommandèrent en dernière minute, un accident heureusement sans gravité corporelle, étant survenu dans leur famille. C’est l’ami Robert Monthéard, fort des conseils de ce dernier qui prépara le cocktail apéritif. Bravo Robert, tu nous as sauvé la vie, le punch fut génial. Pour le repas, les filles prirent la balle au bond, et personne n’eut à s’en plaindre.





J’ouvris les festivités avec la chanson des 20 ans, une composition personnelle sur l’air de « Mon amant de Saint-Jean », la célèbre chanson de Lucienne Delisle. Je pensais que j’allais faire un flop, j’eus droit à des ovations. Ce fut dès ce moment que je compris que la soirée allait être un succès. Puis vint Robert qui interpréta magistralement « Les marchés de Provence » de Bécaud. Gilbert Navarro continua avec des chansons du répertoire d’Yves Montand.
Trois Frères Jacques plus vrais que nature nous interprétèrent une version magistrale et très appréciée de leur fameuse chanson " La Queue du Chat". Au départ, comme les vrais, ils devaient être quatre, mais Bernard étant hélas absent pour les raisons que j'ai données plus haut, ce fûrent donc notre président Alain Biacabe, Francis Reyes et l'incontournable Robert Monthéard qui s'y collèrent.
La soirée se poursuivit avec le show haut en couleur des « Girls du Coudon », l’hilarante prestation du





Le moment attendu de la soirée fut l’arrivée du gâteau d’anniversaire d’où jaillit la belle Jocelyne Colin sur un air de french cancan. A ce sujet, je tire un coup de chapeau à Paulo qui a préparé seul cette magnifique et imposante pièce montée factice. Pour terminer la soirée, le champagne coula à flot pour accompagner le gâteau (le vrai cette fois.)





L’apéritif était offert. En fait, ce fut un vrai repas. L’après-midi se passa en jeux divers, jeux de massacre, tir à la corde, sans oublier notre cartomancienne Samantha (Dominique Housinet) qui tira les cartes toute l’après-midi. Elle le fit si bien que certains crurent dur comme fer qu’elle était une véritable voyante.
Vint enfin la corvée de démontage, nettoyage et retour aux domiciles respectifs, les bagnoles bourrées à craquer. Il f





Pour terminer, je voudrais remercier tous les organisateurs qui œuvrèrent, et le mot n’est pas usurpé, pour que ces deux jours soient une vraie fête et qu’on s’en souvienne longtemps. Le pari était osé, il fut tenu.
Remerciements :
A tout seigneur, tout honneur, mon épouse Jacqueline Sullice. C’est de son cerveau qu’a germé l’idée d’une soirée cabaret.
Je re





Les artistes :
Le musicien : Pierre Leoni
Les chanteurs : Robert Monthéard, Gilbert Navarro, Jean-Marie Sullice
Les Frères Jacques : Alain Biacabe, Francis Reyes, Robert Monthéard
Les girls du Coudon : Corinne Damour, Geneviève Leroux, Pascale André, Nicole Rubira, Jacqueline Sullice, Marie-Pierre Auriol, Brigitte Auzende, Ghislaine Roy.
Les magiciens : Claude Housinet et Jacqueline Sullice
Le dresseur de puces : Jean-Marie Sullice
La fève : Jocelyne Colin.
Conception du gâteau : Paul Gérard
Présentati






Je fais une bise personnelle à mon amie Brigitte Zinck qui a assuré au pied levé et magistralement la régie de mon numéro de puces savantes, et qui a pensé à m’amener des croissants dimanche matin.
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