



Ce fut par un calme plat que nous mîmes nos embarcations à l’eau.
Tout



Après avoir dépassé la pointe des Salis, nous pénétrâmes dans la profonde grotte d’Escampo-Barriou peuplée d’innombrables chauves-souris. Le reflet du jour sur les eaux sombres de la grotte faisait curieusement paraître la mer phosphorescente lorsque nous agitions l’eau avec nos pagaies. Tout le monde trouva cette expérience exaltante. Dommage, nous n’avions pas de lampes, et la grotte est profonde. Je tentai bien de m’aventurer plus avant, mais




Après avoir doublé les fortifications de la pointe de Rabat, nous atteignîmes enfin la plage d’Escampo-Barriou, lieu choisi pour la pause de midi. Les marcheurs n’étant pas encore arrivé, nous en profitâmes pour nous offrir un bain. J’avais amené masque et tuba, je ne le regrettai pas. L’eau était d’une transparence rare. Par contre, il y avait quelques méduses et bien entendu, je ne pus éviter une




L’armada des randonneurs arriva bientôt et envahit la plage au point que nous fîmes fuir d’autres groupes tout aussi importants. On aurait dit que tout ce qui compte de randonneurs dans le Var s’étaient donné rendez-vous au même endroit.
Nous eûmes bientôt la surprise de voir débarquer Jo et son fils Rémi sur un long esquif effilé nommé dans le langage des avironneurs un « deux de couple ». Ils arrivaient directement du







Ce fut une belle reprise. Il faut remercier Jocelyne et Pierre Kurtz pour la patience qu’ils ont eu à traîner tout ce beau monde toute la journée.
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